Il est avéré que les pays dits du sud souffrent de problèmes catastrophiques récurrents comme le non accès à l’eau potable. Pourtant, de nombreuses structures ont déjà été mises en place pour pallier à ces problèmes, qu’en est–il donc de solutions pérennes ?
Les solutions appliquées à ce jour
Des organismes, gouvernementaux ou non, font déjà leur possible pour régler ces problèmes qui ne devraient plus avoir cours en ce millénaire. Il s’agit de solutionner par exemple l’un des piliers de toute civilisation : la régulation de l’eau. Ce n’est pas tant les solutions techniques qui ne sont pas présentes, il existe en fait de nombreuses sociétés capables de fournir toutes sortes de solutions en termes de pompes de chantier afrique et autres matériels lourds. Ces sociétés sont bien pressenties pour mettre en place des infrastructures un peu partout où besoin se fera sentir.
La vraie problématique se situe au niveau des blocages posés par l’administration ou encore des conflits sociaux qui sont légion dans la majorité des pays où l’adduction même en eau est un véritable luxe. Cette mise en tête de liste de problèmes plus secondaires comme des conflits politiques comme par exemple les frontières constitue un véritable handicap pour les organisations qui veulent implanter des infrastructures de base comme l’adduction en eau. La vision même du terme développement est donc à revoir car chacun a la sienne. Les sociétés qui veulent développer des solutions passant par les bases doivent donc se battre pour être reconnus dans un système où corruption et alphabétisation flirtent avec des sommets respectivement hauts et bas qui peuvent donner le tournis.
Les solutions à mettre en place
Essayer individuellement de réduire la pauvreté dans le monde est sans doute vain mais pas complètement inutile car des actions isolées finissent par interpeller un plus grand nombre et l’effet tache d’huile fait son effet. Il faudrait concentrer toutes ces bonnes volontés et allier des leviers communs comme des manifestations en tout genre ou encore des pétitions pour une écoute au parlement.
Ces solutions afin d’interpeller le plus grand nombre sont le meilleur moyen de réveiller les consciences sur la réalité poignante qui touche de nombreuses autres personnes ailleurs. Au-delà de ces considérations purement humanitaires, il reste beaucoup à faire également dans tous les pays pour renforcer les infrastructures existantes. Il est à rappeler que les crues subites peuvent toucher n’importe quel pays à tout moyen. C’est ensemble que les problèmes peuvent se régler car le problème est devenu planétaire par des enjeux devenus géopolitiquement diversifiés.