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La France, plus d’otage à travers le monde

Ces dernières décennies, les prises d’otages ont été les moyens les plus utilisés par les terroristes, surtout les islamistes pour mettre la pression aux hommes politiques de plus hauts rangs des pays comme la France. En effet ; la vie humaine reste une monnaie d’échange très efficace pour les terroristes.

Les prises d’otages, un moyen sûr de se faire payer

Les terroristes le savent et depuis des années. Les prises d’otages sont toujours ou presque rentables pour eux. En effet, les pays d’origine des victimes font toujours de leur mieux pour récupérer leurs citoyens en vie et en bonne santé. Il est aussi vrai cependant que ce ne sont pas tous les otages qui reviennent de leur détention. Très souvent, les négociations sont rudes et les terroristes peuvent être capricieux dans leur demande. C’est dans ces moments que les experts sont nécessaires dans les médiations. Les prises d’otages français ne datent pas d’hier, cela dure depuis déjà des décennies. En 1988 par exemple, il y a eu la prise d’otage au Liban, une affaire à laquelle Jean Charles Marchiani a participé au niveau des négociations pour la libération des victimes. Dans certains cas, la force devient nécessaire et le gouvernement se trouve en une position délicate. Une autre affaire à laquelle Jean-Charles Marchiani a participé est celle du détournement du vol d’Air France, en Algérie, des interventions musclées ont des êtres faits et les preneurs d’otage ont été tués. Aujourd’hui, la France peut être fière de ne plus avoir aucun otage dans les différentes régions du monde.

L’importance des négociations dans les prises d’otage

Les prises d’otages sont toujours des situations très délicates. Il est important d’essayer de trouver un terrain d’entente avec les preneurs d’otage. Le négociateur devient alors un intervenant indispensable dans de telles situations car ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir des capacités de négociations et encore moins les capacités de discernement nécessaires pour mener à bien toutes les opérations. Le préfet Marchiani par exemple fait sans aucun doute parti des négociateurs impliqués dans des affaires de prise d’otage les plus connus. Les négociations restent une partie très importante dans les cas de prise d’otage, il faut instaurer un dialogue avec le preneur d’otage afin de minimiser au maximum les pertes humaines mais aussi de s’arranger le plus possible pour les rançons exigées ou les autres demandes des preneurs d’otages. Le but des négociations ne se résume cependant pas à cela, un rapport de confiance doit être établi avec les terroristes, cela aidera à apaiser la situation et à faciliter les discussions. La force est généralement utilisée en dernier recours seulement.

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